Toxicité du mercure chez le thon rouge : un nouvel éclairage scientifique

Paris,
Santé

Une étude menée par l’ESRF – le Synchrotron européen de Grenoble –, le CNRS, l’ENS de Lyon et l’Institut de recherche marine de Norvège, révèle comment le thon rouge d’Atlantique transforme la forme toxique du mercure en formes moins nocives. Le muscle, la partie comestible du thon, contient ainsi non seulement du méthylmercure, mais aussi du mercure lié à des composés stables et non toxiques, selon l’étude publiée dans la revue Environmental Science & Technology.

Bibliography

Manceau, A., et al., Demethylation Pathway of Methylmercury in the Spleen and Peripheral Organs of Bluefin Tuna – Implications for Fish Consumers, Environmental Science & Technology, 18 septembre 2025. DOI : https://doi.org/10.1021/acs.est.5c08815

Contact

Alain Manceau
Chercheur en sciences de l’environnement
Delphine Chenevier
Head of communications, ESRF